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n vous dit Shakespeare et Rihanna, vous répondez… rentrée des classes ? Non : Marielle Pinsard bien sûr ! Pour sa propre rentrée, Saint-Gervais programme l’auteure de Pyrrhus Hilton (2007) pour un nouveau télescopage d’époques. Dès vendredi et pour cinq soirs, le Roi Lear prend un coup d’iPad dans le ventre. Quatre siècles et des poussières après sa création, la tragédie
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L’atelier Voies théâtrales propose au public une plongée dans la fabrique du théâtre romand. Sept rendez-vous mensuels répartis sur autant de lieux (dont Saint-Gervais en février) jalonneront l’édition 2014-2015. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 septembre.
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de Shakespeare devient Les filles du Roi Lear ou la véritable histoire de Rihanna. Tragédie et paillettes, chœur baroque et RnB, théâtre élisabéthain et MTV… Rien de frivole pourtant : l’histoire du vieux despote tyrannique et de ses trois filles pourrait s’avérer encore plus vertigineuse que prévu.
5-9 septembre
Les filles du roi Lear ou la véritable histoire de Rihanna
Cie Marielle Pinsard
Dans le cadre de La Bâtie-Festival de Genève
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Grand angle sur l’Amérique de Gremaud et Cie dans Western dramedies
par Daniel Vuataz
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Du bitume qui file de Chicago à Santa Monica. Des prairies, du désert, des motels, une voiture toutes les demi-heures. De la country par la glace entrouverte. On n’a pas tous la chance d’avoir « brûlé la gomme » sur l’asphalte de la Route 66. Mais eux l’ont fait, pour de vrai.
Eux ? Ce sont les trois acolytes de la 2b company : François Gremaud, Michèle Gurtner et Tiphanie Bovay-Klameth. Avec leur méthode habituelle faite d’improvisations filmées et de tout un matériau récolté sur place, Gremaud et Cie ont mis leur Amérique en boîte. Crée en janvier 2014 à l’Arsenic, présenté à Fribourg et à Paris, le résultat Western Dramedies se décline au pluriel : les corps se mesurent aux étendues sauvages, les préjugés aux aspérités du terrain. Morcelé comme le voyage, mémorable comme les rencontres qu’on y fait, ce morceau d’Amérique est « à la mesure des interprètes : drôle, décalé, attachant, sinon poignant » (Le Temps). Vous non plus n’avez jamais foulé la Route 66 ? Pas de problème : c’est elle qui vient à vous.
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7-18 octobre
Western Dramedies
Gremaud/Gurtner/Bovay-Klameth
2b company
Spectacle en anglais surtitré en français
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Latifa Djerbi, un ouragan de fraîcheur sur scène
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Seule sous les projecteurs, seule face au public. Voilà quelque chose d’improbable et d’audacieux à l’heure où les collectifs sont rois. Par chance, dans l’esprit mathématique de Latifa Djerbi (c’est sa formation), le risque est calculé. « L’improbable est possible, j’en suis la preuve vivante. » Voilà en tout cas ce que vous promet cet électron libre de la scène contemporaine, tantôt slameuse, prof d’atelier ou comédienne depuis 2001 avec sa comparse Marie Probst au sein de la compagnie Les Faiseurs de rêve. Repérée par Saint-Gervais en 2012, Latifa Djerbi s’est vue offrir un lever de rideau en guise de carte blanche. Et L’improbable a commencé…
Depuis, le seul-en-scène a mûri, s’est étoffé. Il a maintenant l’ampleur d’un spectacle qui, aussi étonnant que cela puisse paraître, parle tout aussi intimement de Latifa Djerbi que Latifa Djerbi parle de vous. Décalé, drôle, poétique, pertinent, acéré parfois, les variables ne manquent pas. Demeure une seule inconnue dans l’équation : jusqu’où ira Latifa Djerbi ?
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30 septembre-18 octobre
L’improbable est possible, j’en suis la preuve vivante
Latifa Djerbi
Cie Les faiseurs de rêves
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